INTERNET DES OBJETS ET STANDARDISATION - INITIAL
Dans certaines
définitions de l’Internet des Objets, « il est parfois suggéré que l'objet
deviendra un acteur autonome de l'Internet, c'est-à-dire capable de percevoir,
analyser et agir par lui-même dans les contextes des processus dans lesquels il
sera engagé. … Le
couple "objet physique" / "Intelligence virtuelle
associée", qu'elle soit embarquée, distribuée ou hébergée dans le Cloud, y
est alors mentionné sous l’appellation "cyberobjet". Les cyberobjets
sont des acteurs potentiels des chaines de valeurs qui agissent sous le
contrôle des opérationnels ou en partenariat avec eux. » (Source
Wikipedia, septembre 2011).
Le Web 2.0 fut
caractérisé par la généralisation des « individus-acteurs1 » -
réseaux sociaux, outils collaboratifs, moi-quantifié 2, … - et confirma qu’il
n’était pas possible de prévoir, a priori, tous les comportements d’acteurs
autonomes quels que soient les contextes ou les processus. Ce principe est en
outre très lié à celui de création de valeur pendant cette période de
l’Internet : le Web 2.0 fut prolifique parce que permettant de découvrir
de nouveaux horizons. Pour ce qui concerne l’avenir de l’Internet, ce retour
d’expérience démontre qu’il est légitime de poser la question de la
« Standardisation », réponse la plus fréquemment donnée aux problématiques
d’interconnexion, de communication et d’interopérabilité dans nos
organisations. Les travaux de standardisation ne sont en effet peut-être pas,
au sens où nous l’entendons aujourd’hui, les seules solutions pour adresser les
enjeux que pose l’évolution la plus récente de l’Internet : l’Internet des
Objets.
Lire la suite : http://91.121.31.27/afeit2/images/Lettre/lettre_20.pdf (page
2).
Article
original : AFEIT - La Lettre n° 20 ; 10-10-2011 - Dans le cadre de la
semaine B-ware qui s'est déroulée du 3 au 7 octobre, l'AFEIT a consacré son
dernier bulletin d'information à l'Internet des objets.
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